LE CO-PHOSPHÈNE

DESCRIPTION DU CO-PHOSPHENE

La catégorie de phosphènes que nous utilisons, par ordre d’importance, pour les usages professionnels et pédagogiques principalement, n’avait jamais été décrite, ni même signalée, avant nos travaux. Elle ne portait donc pas de nom. Nous l’avons appelée co-phosphène, puisque l’éclairage et ce phosphène coexistent.
Ce phosphène dure, comme le précédent, environ trois minutes. Il faudra donc regarder l’éclairage durant ce laps de temps.

C’est pendant la fixation de la lampe, comme nous l’avons précédemment décrit, en cillant mais sans bouger les globes, qu’entre la quinzième et la trentième seconde, on voit apparaître le plus souvent une coloration bleutée, en périphérie de la lampe principalement et la débordant en recouvrant l’intérieur du réflecteur.
Cette couleur est toujours pâle. Observer qu’elle présente presque toujours une agitation : soit un mouvement tourbillonnaire, soit des mouvements confus.

En général, le centre de la lampe reste de sa teinte propre, c’est-à-dire d’une blancheur physique et non phosphénique. Pourtant, il arrive assez souvent que la lampe elle-même soit recouverte de cette teinte bleue pâle jusqu’à son centre.
On remarque également que le co-phosphène est plus fragile que le post-phosphène : le moindre mouvement des yeux le casse brusquement. Après quelques secondes de latence, il met ensuite plusieurs secondes à se reformer progressivement. C’est pourquoi l’œil doit rester bien immobile, par relaxation des muscles péri-oculaires, et les cillements des paupières être plus légers.
Ne pas prendre les rayons rectilignes, fixes, de couleurs variées, disposés de façon radiale autour du réflecteur pour des couleurs phosphéniques : ce sont des couleurs par diffraction sur le bord du réflecteur et peut-être aussi sur le bord de l’iris, donc des couleurs physiques.

Après une minute et demie environ, il apparaît quelques petites taches roses dans cette teinte, en général bleutée, puis subitement, le phosphène devient tout rose. Il n’y a donc pas un envahissement progressif du bleu par le rose mais des signes annonciateurs de la transformation subite.

Vers la fin de la troisième minute de fixation de l’éclairage, la teinte rouge disparaît.

Couleurs phosphènes

A ce stade, certaines personnes, assez rares il faut dire, observent une brève phase verte de peu de surface. Mais le plus souvent, pendant quelques secondes, la lampe reprend sa teinte normale, puis elle se stabilise sur une teinte grise. On pourrait croire cette dernière provoquée par la fatigue visuelle si on n’avait jamais observé la lueur diffuse du post-phosphène. Mais la similitude des couleurs est frappante, la forme aussi dans une certaine mesure car cette teinte grise déborde sur l’intérieur du réflecteur. Elle possède les bords dégradés et une stabilité meilleure que celle des couleurs précédentes. Elle passe si on prolonge la fixation. Cette teinte grise possède toutes les caractéristiques de la lueur diffuse.

Ainsi, le co-phosphène, comme le post-phosphène, se termine par la lueur diffuse.

Ceci est très important car il semble que la fixation du soleil vif soit accompagnée d’une grande quantité de lueur diffuse, bien que les phases bleue et rose du co-phosphène soient le plus souvent inapparentes.
En effet, lorsque l’éclairage est très vif, les premières phases du co-phosphène ne se manifestent pas mais seulement les dernières. C’est ainsi que parfois, lorsqu’on fixe le soleil, le centre en apparaît noir, ce qui semble être un phénomène exactement semblable au phosphène négatif que l’on perçoit, au début de l’entraînement, à la fin du post-phosphène. Parfois, dans le co-phosphène, si la lampe est puissante, il arrive que son centre paraisse noir. Souvenons-nous de l’expérience avec l’alternance des phosphènes doubles qui prouve l’existence du phosphène négatif.
Cela amène à penser que bien souvent, lorsqu’on fixe le soleil, il se forme de la lueur diffuse phosphénique, mais comme elle est mêlée à l’éblouissement, on ne la distingue pas.

Or, nous avons des milliers d’expérimentateurs qui ont vérifié que la lueur diffuse permet de distinguer les objets physiques en pleine obscurité. Elle est donc “ quelque chose ” d’extérieur au cerveau. Ainsi, lorsque l’on pense en fixant le soleil, mais de la façon sans danger pour les yeux que nous avons indiquée, nous mêlons notre pensée à une sorte de substance subtile.

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Dr Lefebure

Dr LEFEBURE

• Ancien Externe des Hôpitaux de Paris,
• Ancien médecin du Service de Santé scolaire,
• Ancien professeur de Sciences et de Mathématiques,
Médaille d‘Or et Prix du Concours Lépine,
Médaille d‘Argent du Concours Lépine,
Médaille d‘Or du Salon International des Inventeurs,
Médaille de Vermeil du Salon International d‘inventions,
Médaille d‘Argent du Salon Mondial des Inventeurs de Bruxelles, pour la méthode “Phosphéno-Pédagogie”.