PRODUCTION EXPÉRIMENTALE DES PRODIGES SOLAIRES

Les prodiges Solaires

Nous connaissons plusieurs personnes qui n’avaient jamais entendu parler des “ prodiges solaires ” comme ceux de Fatima, de Saint-Paul-d’Espis, de Tilly-sur-Seulles ou de Kérizinen, et qui pourtant, une fois, en fixant le soleil, ont vu celui-ci paraÎtre se balancer dans le ciel, puis tournoyer sur lui-même, présentant par exemple un tourbillon au centre, pendant que ses rayons paraissent tourner comme ceux d’une roue : diverses manifestations d’apparence extraordinaire accompagnant ces mouvements.

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1- Rappel très sommaire de quelques danses du soleil historiques

A Fatima : le soleil a paru d’abord trembler, puis pendant les dix minutes qui ont suivi, trois fois tomber sur la foule, ce qui lui a arraché des cris de frayeur. Surtout, le soleil a paru se balancer dans le ciel (voir la description détaillée de ces prodiges solaires et l’analyse de leurs rapports avec le Phosphénisme dans mes autres ouvrages).
Souvent, après le tremblement, le soleil s’obscurcit. Ce n’est pas étonnant : la dernière phase du noyau central du post-phosphène est une phase noire, plus noire que l’environnement, phase appelée classiquement “ phosphène négatif ”. Ici, sous l’influence du déclenchement de ces rythmes et dans l’intensité de la lumière, il y a un renversement de l’ordre des phases : le phosphène négatif se présente le premier.

A Kérizinen : un fait spécial s’est produit : le soleil a paru tomber en se coupant en deux, chaque moitié tournant en sens inverse de l’autre.
Cette observation est facilement explicable : si l’on regarde deux lampes séparées par une cloison, de telle sorte que chaque œil ne puisse voir que l’une d’entre elles, on observe deux phosphènes. Dans ce cas, les axes des yeux sont parallèles. Pas étonnant par conséquent que lorsqu’on fixe le soleil, son phosphène, devenu indépendant en raison de son autonomie dans le champ visuel, soit double puisque le soleil étant à l’infini, les axes des yeux sont parallèles.

Nous avons déjà fait remarquer d’ailleurs qu’assez souvent, le phosphène solaire a une forme d’haltère, même lorsqu’on a pris soin de couvrir ses yeux de ses mains, en amenant le regard face au soleil, puis d’écarter les mains pendant la fixation et de les rapprocher de nouveau avant de changer la direction du regard. Cette forme en haltère est le début de la scission en deux du phosphène solaire, telle qu’elle s’est produite à Kérizinen. On observera, de plus, une tendance à l’alternance entre les deux boules en haltère, tendance qui n’est autre que la forme fruste de l’alternance des phosphène doubles, ce qui prouve la similitude de rythme des deux phénomènes.

2- Quand je me suis fait danser le soleil

Au cours de trois essais, selon la méthode que nous allons détailler puis résumer, j’ai vu ainsi le soleil devenir noir comme un sac de charbon, faire des bonds dans le ciel, la perception du vrai soleil ayant disparu mais les toits étant visibles normalement. Autour du “ Soleil noir ”, est ensuite apparue comme une rampe de flammes de gaz dont on pouvait noter la rotation par la base de chaque flamme. Toutes les trois secondes environ, le sens de rotation changeait, ce qui était perceptible par la base de la flamme mais de plus, au moment du changement de sens de rotation, la courbure de la flamme se renversait comme l’eût fait une rampe de gaz réelle.

Il me semble que le phénomène aurait pu durer très longtemps si je n’avais été épuisé par l’effort de vide mental qui avait bien duré un quart d’heure car à chaque pensée qui approchait, si légère fut-elle, le phénomène s’atténuait.
J’ai été très intéressé par la brusquerie du changement de sens de rotation, sans ralentissement préalable, car elle rappelle des variations de direction qui vont contre les lois de l’inertie des “ objets volants non identifiés ”.

Dans les deux cas, de telles variations brusques de direction seraient explicables par la présence sous-jacente d’un champ magnétique agissant simultanément sur chaque particule de l’élément. Car il faut bien le souligner, la comparaison avec la rampe à gaz allumée, dans l’expérience ci-dessus, revient à donner au phosphène une sorte de matérialité subtile, ce que confirment bien d’autres expériences.
Il semble d’ailleurs que cette danse du phosphène solaire soit plus difficile à obtenir après quelques essais.

Donc, si intéressante qu’elle soit à d’autres aspects, du point de vue purement physiologique, cette danse du phosphène ne serait qu’une réaction d’adaptation à une situation inhabituelle de la vue, dans le cas présent à de très forts éclairages. Ce fait est comparable à ce qui se passe lors d’une vaccination par une série de piqûres : il y a des réactions aux deux ou trois premières mais il n’y en a plus par la suite.

3- Circonstances spontanées favorisantes chez les montagnards et les villageois

La comparaison des cas permet de mettre en évidence différentes circonstances favorisantes : c’est ainsi que cette “ danse du soleil ” se déclenche parfois chez des montagnards qui regardent au loin un sommet quand le soleil couchant est à côté, à son niveau ; ou encore, comme un cas que nous avons connu près de Nancy, à Neuve-Maison : une personne regardait l’heure de sa fenêtre au clocher du village. Or, à certaines périodes de l’année, le soleil couchant était à côté du clocher, au niveau de la pendule. Plusieurs fois, elle fut béate d’admiration en contemplant un “ prodige solaire ”, ce dont elle n’avait jamais entendu parler.
On s’explique alors des confusions comme celle de Fatima où la foule a cru voir le soleil danser, alors que c’était son co-phosphène.

4- Manœuvre augmentant grandement les chances de provoquer la danse du soleil

Le regard de côté :
Dès lors, les deux observations ci-dessus de montagnards et de villageois deviennent très explicables : en regardant non plus le soleil lui-même mais un peu à côté, on provoque un déséquilibre du champ visuel qui favorise le déclenchement de tous les rythmes phosphéniques qui se déroulent alors avec une intensité inhabituelle et successivement. De même, si deux balles pendent par un fil à une même corde non tendue et si l’on fait balancer l’une obliquement sur la corde, l’énergie de celle-ci va passer dans l’autre qui se balancera suivant une autre direction, la première étant alors devenue parfaitement immobile, ce qui n’aurait pas été le cas s’il n’avait pas existé une liaison indirecte avec la deuxième.
C’est la loi des pendules couplés. Dans la fixation du soleil, l’énergie de la première vibration est particulièrement grande, en raison de l’intensité des rayons solaires.
Si cette vibration se déclenche, ensuite son énergie passera dans le deuxième mode de vibration du phosphène, et ainsi de suite, donnant à la succession des phases, dans le prodige solaire, un ordre grandiose.

La tête renversée :
Renverser légèrement la tête en arrière pendant la fixation du soleil, puis fixer un point à côté de lui, est un facteur favorisant l’apparition de ce qu’il faut nommer “ LA DANSE DU PHOSPHÈNE ”, et non plus la danse du soleil.
Que cette position soit favorable, on ne saurait s’en étonner puisqu’elle augmente la pression sur les zones occipitales du cortex, siège de la vision et des phénomènes phosphéniques. Cette pression est un facteur irritatif de plus, facilitant le déclenchement de réflexes dans cette zone.

Balancements de la moitié supérieure du corps :
L’expérience nous a montré que les autres circonstances favorisantes des “ danses du phosphène ” sont principalement des balancements de la moitié supérieure du corps, sur un rythme de deux secondes, pendant le début de la fixation du soleil, qu’on regarde alors en son centre.
Pour ces balancements, il faut écarter légèrement les jambes, à quarante-cinq degrés environ l’une de l’autre. Cela facilite le départ du balancement au niveau de la ceinture. D’autres expériences que nous avons déjà citées montrent qu’un tel point de départ, pour les oscillations du corps, favorise les rythmes phosphéniques, comme si le plexus solaire sur lequel elles font pression jouait aussi un rôle sur les rythmes des phosphènes.

Suspension de souffle :
Ensuite, arrêter les balancements et regarder un peu à côté. Faire le vide mental, retenir son souffle. Si le soleil commence à trembler, se mettre dans l’état que l’on sent le mieux favoriser ce tremblement car il est le début du “ prodige ”. Lorsque les grands mouvements apparemment solaires ont commencé, chasser toute idée car la moindre autre activité du cerveau paraÎt alors être un frein aux mouvements apparents du soleil.
Souvent après le tremblement, le soleil s’obscurcit. Ce n’est pas étonnant : la dernière phase du noyau central du post-phosphène est une phase noire, plus noire que l’environnement, phase appelée classiquement “ phosphène négatif ”. Ici, sous l’influence du déclenchement de ces rythmes et dans l’intensité de la lumière, il y a un renversement de l’ordre des phases : le phosphène négatif se présente le premier.
Lorsque l’éclairage est très fort, les premières phases du co-phosphène, bleue, puis rouge, n’apparaissent jamais, d’où le début apparent par la phase noire.
Nous verrons, au résumé de la technique favorisant la danse du phosphène solaire, quelques conditions secondes qui ne demandent pas de longues explications.

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RÉSUMÉ DE LA MARCHE À SUIVRE POUR PROVOQUER UN PRODIGE SOLAIRE

Si les indications ci-dessus ne suffisent pas à obtenir la “ danse du soleil ”, voici le résumé de la marche à suivre, avec quelques circonstances favorisantes supplémentaires :

Pendant les semaines qui précèdent l’expérience, s’entraÎner au Mixage dans le post-phosphène, en imaginant un point blanc qui tourne en périphérie, pendant quelques secondes dans un sens, puis dans l’autre.

Au moment de l’expérience, être à jeun depuis au moins quatre heures, si possible plus.
Certains aliments, pris au dernier repas avant la tentative, paraissent favoriser le phénomène, principalement la banane (qui, par ailleurs, paraÎt intensifier la phase rouge du phosphène).

Etant les jambes écartées, fixer directement le soleil en balançant la moitié supérieure du corps pendant une minute et en ayant la tête légèrement renversée en arrière.

Ensuite, fixer un point à droite ou à gauche du soleil, à son niveau, la tête étant toujours renversée en arrière et la garder ainsi pendant toute la durée de l’expérience.

Le regard doit être parfaitement détendu, la respiration très lente, “ arrondie ”, en insistant sur celle par le sommet des poumons.

A défaut, faire de longues rétentions d’air, poumons ultra-pleins et de temps à autre reprendre son souffle. Ne pas forcer la rétention jusqu’à provoquer des crispations.

A ce stade, un clignement des paupières peut déclencher la danse du soleil mais par contre, si elle est déjà en marche, un nouveau clignement peut l’interrompre.

Si les manœuvres ci-dessus n’ont pas suffit, fermer les yeux jusqu’à l’apparition du phosphène vert et se représenter alors dedans, un point qui tourne en périphérie. Rouvrir les paupières en fixant un autre point dans le ciel, avant de les refermer. Par tâtonnements, on déterminera la distance et l’orientation, par rapport au soleil, de la zone dont la fixation est la plus propice à provoquer ce déséquilibre du phosphène qui déclenche ses mouvements.

Répéter patiemment ces manœuvres, en les variant un peu et en insistant sur celles qui provoquent ou un léger tremblement du soleil ou des changements de couleurs dans le ciel environnant. Ces deux signes sont les prémices de la danse du soleil.

Enfin, on obtiendra des résultats bien meilleurs en opérant en groupe.

Toutefois, il n’est pas possible d’obtenir franchement sur soi la fameuse “ Danse du soleil ” un grand nombre de fois de suite.
Il faut observer, après, quelques mois de repos pour recommencer.

Le présent résumé a fait l’objet d’une affiche intitulée “ Orages télépathiques ”.

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