SYMÉTRIE ENTRE LE CO- ET LE POST-PHOSPHÈNE

On remarquera la parenté entre le co- et le post-phosphène qui n’en est que plus accentuée par un certain degré de symétrie entre eux, dans l’ordre des couleurs.
En effet, le co-, comme le post-phosphène, débute par une phase sans couleur phosphénique (donc obscure pour le post-phosphène, et au contraire, de la teinte de la lampe pour le co-phosphène ; cela tout au moins dans les débuts de l’entraînement). Cette phase, quand elle existe, ne dure pas plus d’une vingtaine de secondes.

Le co- et le post-phosphène se terminent tous deux par une phase grise que nous avons nommée la lueur diffuse. Nous l’utilisons peu en pédagogie et pour l’épanouissement des facultés intellectuelles.
Mais son étude sera fondamentale pour la progression de toutes les sciences dans les années à venir.

Entre ces deux phases grises, dans le co- comme dans le post-phosphène, il y a trois couleurs distinctes qui durent environ une minute et demie chacune et qui sont les mêmes : le rouge, le bleu et le vert.
La similitude du co- et du post-phosphène serait donc parfaite s’il n’y avait, pourtant, UNE NETTE SYMÉTRIE DANS L’ORDRE DE CES TROIS COULEURS.
En effet, dans ces deux variétés de phosphènes, le rouge est la couleur du milieu du cycle, il est vrai “ lavé ” (comme on dit en optique, c’est-à-dire transformé en rose pâle par le blanc surajouté de la lampe) dans le co-phosphène.
Mais c’est le bleu, nous l’avons vu, qui commence le co-phosphène, tandis que c’est cette même teinte qui termine le post-phosphène. La symétrie est complète chez les personnes qui présentent du vert avant la phase grise du co-phosphène. C’est pourquoi, bien que ce soit un phénomène rare, nous l’avons signalé.

Il faut pourtant ajouter que pour le co-phosphène, le nombre des particularités individuelles et variations à chaque expérience dans les débuts de l’entraînement est plus grand que dans le post-phosphène. Ainsi, chez certains sujets, après les trois minutes, le cycle des couleurs possède une tendance à reprendre plus ou moins, pourtant jamais bien longtemps.
Mais statistiquement, la tendance à la symétrie des couleurs entre le co- et le post-phosphène est certaine

LA LOI DU TOUT OU RIEN CLÉ D’UNE PRATIQUE SANS DANGER DU MIXAGE PHOSPHÉNIQUE

On observera que le post-phosphène consécutif à trois minutes de fixation n’est pas plus grand, pas plus brillant, ou à peine un peu plus au début, et pas plus durable que celui consécutif à la fixation de trente secondes.
Ceci nous met bien en évidence que le phosphène obéit à la loi du “ TOUT ou RIEN ”. Cette loi se retrouve fréquemment aussi bien dans le monde minéral qu’organique.

L’exemple le plus simple de cette loi est celui-ci : supposons que nous ayons deux cruches pleines d’eau. Sur la première, on commence par donner des petits coups de marteau ; il ne se passe rien. On augmente progressivement la force ; toujours rien jusqu’au moment où nous atteignons un certain seuil : la cruche casse et toute l’eau se répand.
Mais si nous tapons quatre fois plus fort que pour ce seuil sur l’autre cruche, il ne vas pas couler quatre fois plus d’eau : ce sera la même quantité.

Cette loi qui, présentée ainsi, paraît puérile et évidente a bien étonné lorsqu’on l’a retrouvée dans divers domaines inattendus.

En physique atomique, lorsque l’on envoie un neutron contre un noyau d’atome, ou ce neutron possède la force de le casser ou il ne l’a pas. Mais s’il casse le noyau, c’est toujours la même quantité d’énergie qui sortira du noyau de même nature (c’est-à-dire du même corps simple).

En biologie, si l’on sort un cœur de l’organisme, le perfusant pour qu’il puisse vivre, si alors on lui injecte des impulsions électriques faibles, il ne se contractera pas jusqu’à ce que, augmentant progressivement la force du courant, on atteigne un certain seuil. Alors, la contraction est totale et normale. Si l’on continue à augmenter cette force, la contraction du muscle cardiaque ne sera pas plus énergique.

Si l’on injecte des hormones à un poulet castré, vers l’âge de sa puberté, à dose faible il n’y aura aucun effet, pas plus qu’en augmentant cette dose, jusqu’au moment où, atteignant de nouveau le seuil, il fera tous ses caractères sexuels secondaires d’une façon parfaitement normale.

Le phosphène obéit donc à une loi très générale : avec une dose de lumière qui correspond à environ 75 à 100 watts à un mètre, pendant trente secondes, on obtient le phosphène normal. Au dessous, c’est insuffisant mais en augmentant la dose, le post-phosphène n’est pas meilleur. De plus, comme il s’agit d’un phénomène biologique et non minéral, de même que le poulet pourrait bien être empoisonné par une dose trop forte d’hormone, ou le cœur certainement brûlé par une décharge trop puissante, si l’on fixe par exemple dix minutes la lampe, le phosphène consécutif est moins bon : plus petit, grumeleux, moins brillant, moins durable.
Il n’y a donc aucun danger de se fatiguer les yeux par des fixations de trop longue durée de l’éclairage ou de luminaires trop puissants, si l’on se souvient que ce qui est utile dans cette opération, c’est le mélange de la pensée au phosphène et que l’on applique, dans ce domaine, la loi du “ Tout ou rien ” en respectant la règle :

“ Maximum de phosphène pour un minimum de lumière ”.

En effet, si l’éclairage minimum qui donne le phosphène normal est un éclairage certes un peu vif, il n’est pourtant pas assez fort pour fatiguer des yeux normaux.

“ Maximum de phosphène pour un minimum de lumière ”.

En effet, si l’éclairage minimum qui donne le phosphène normal est un éclairage certes un peu vif, il n’est pourtant pas assez fort pour fatiguer des yeux normaux.

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Dr Lefebure

Dr LEFEBURE

• Ancien Externe des Hôpitaux de Paris,
• Ancien médecin du Service de Santé scolaire,
• Ancien professeur de Sciences et de Mathématiques,
Médaille d‘Or et Prix du Concours Lépine,
Médaille d‘Argent du Concours Lépine,
Médaille d‘Or du Salon International des Inventeurs,
Médaille de Vermeil du Salon International d‘inventions,
Médaille d‘Argent du Salon Mondial des Inventeurs de Bruxelles, pour la méthode “Phosphéno-Pédagogie”.

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